alors le maître prendra Dieu à témoin[a] et fera approcher l’homme du battant de la porte ou de son montant et lui percera l’oreille avec un poinçon[b] et cet homme sera son esclave pour toujours[c].

Si un homme a vendu sa fille comme servante, elle ne sera pas libérée dans les mêmes conditions que les esclaves. Si elle déplaît à son maître qui se la réservait[d], il la fera racheter, mais il ne pourra pas la vendre à des étrangers. Ce serait la trahir.

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Footnotes

  1. 21.6 Concrètement cela signifie qu’il ira devant un représentant de l’autorité divine, c’est-à-dire un juge (voir 22.7-8 ; Dt 1.17) ou l’assemblée des juges (voir Ps 82.1).
  2. 21.6 Le percement de l’oreille, courant en Syrie et dans les pays environnants comme signe de servitude, symbolisait l’obéissance stricte que le serviteur devait à son maître.
  3. 21.6 Voir Lv 25.39-46.
  4. 21.8 Selon la leçon indiquée en marge par les copistes, le texte porte : et que celui-ci ne se l’attribue pas.